Alors que nous échangions banalement et professionnellement via SMS, Abdellatif Kéchiche, pour lequel vous savez mon admiration, m’a transmis cette lettre, adressée à une personne dont je garderai le nom.
Avec l’accord et même la volonté de Monsieur qu’est chiche, je vous la partage.
Cette dernière permet en effet de lever quelques zones d’ombre au sujet des rumeurs cannoises concernant Ophélie Bau, actrice-phare de « Mektoub my Love Intermezzo » et plus encore, sur le statut de la femme aujourd’hui au cinéma.
Qu’on pourrait résumer par ce terme : pudibond.
En outre, si quelqu’un fait des cunnilingus de 14 minutes, comme dans la scène tant décriée du film, qu’il me parle maintenant ou se taise à jamais.